A noter que la France est légèrement en retard dans l’utilisation de la technologie blockchain par rapport aux USA et à la Grande Bretagne où des entreprises s’en servent déjà comme instrument de paiement. L’opinion publique en France et à l’étranger est convaincue du caractère révolutionnaire de cette technologie apportant de changements structurels.
Définition de la blockchain ou chaine de blocs en français
La blockchain est une base de données destinée à la gestion de liste d’enregistrements soutenus contre la tromperie ou la transformation par les boucles de stockage. En effet, c’est une chronologie rassurée de tous les protocoles effectués à partir du démarrage du système réparti en l’occurence. La chaîne de blocs ou blockchain est donc conçue pour protéger les informations, pour rendre plus rapides les transactions et pour économiser les ressources.

Le monde de la banque et le secteur finance en général se trouvent parmi les bénéficiaires privilégiés de blockchain. Expliqué techniquement, la chaîne de blocs désigne un grand registre virtuel qui rassemble tous les mouvements réalisés par les utilisateurs. Le secteur financier se sert de crypto-monnaies pour appuyer cette technologie afin de mieux gérer et suivre les transactions. A noter que l’intervention humaine est substituée généralement par celle des protocoles techniques dans cette technologie de blockchain qui se veut fiable à 100%.
L’utilisation de la blockhain dans l’économie
Le principal objectif dans l’utilisation de blockchain est l’empêchement de fraudes et de manipulations des mouvements financiers. Toute transaction est vérifiée par des algorithmes bien bâtis avant toute validation. A noter que le bitcoin est le secteur d’application prioritaire de la chaîne de blocs qui est par la suite utilisée dans d’autres échanges de données.

Outre la lutte contre le monopole de la monnaie, l’assainissement des transactions bancaires, l’impact de cette nouvelle technologie touche l’économie en général et s’avère très important pour les Etats. En effet, il est envisageable de diminuer les coûts de traitement, les risques, les dépenses pour sécuriser les informations et les délais de prise en compte des opérations.